Le sang de la guerre avait souillé la terre, la tuant à petit feu. On pensait, à tord, que la guerre était terminée, que l’église nous protégeait, qu’ils ne reviendraient plus. Nous nous étions trompé…

Les combats avaient reprit, plus violent encore, une nouvelle espèce de vampire avait été créer, mi-homme, mi-monstre, plus forte encore et doté d’intelligence. Les ressources humaines, déjà faible se réduire à néant et tous combattirent, détruisant un peu plus le monde.

Quand la terre ne fut plus que désolation, la colère de Dieu nous frappa plus violemment encore. Nous avions détruit sa création, son humanité n’avait plus rien d’humaine à ses yeux. Il ordonna à ses enfants les anges de détruire les humains et tout c’eux qui vivaient sur la terre. Le temps du grand nettoyage était arrivé. Mais une prophétie contre laquelle même Dieu ne pouvait aller annonçait la naissance d’un enfant en mesure de sauver l’humanité. Dieu ne l’entendait pas de cette oreille, il ordonna à son plus valeureux soldat de faire en sorte que l’enfant ne vienne pas au monde. Michael désobéi à son père, descendant sur terre, se coupant les ailes pour protéger l’enfant. Dieu envoya Gabriel à la place, mais l’enfant pu naitre, l’humanité avait une nouvelle chance de survit. Dieu accepta de leur en laisser une autre à la demande de son fils.

Mais rien ne changea à ses yeux. L’église disait servir la parole de Dieu, lui n’était pas d’accord. L’humanité pourrissait sous yeux, sa décision fut prise, nous n’avions plus le moindre espoir. Il passa un pacte avec le plus rebelle de ses fils, Lucifer, Roi des enfers. Ils laisseraient leurs enfants respectifs se faire la guerre sur terre et le camp qui l’emporterai gagnerai chacune des âmes sur terre.

Les anges descendirent sur terre, les démons quittèrent l’enfer. Les humains, bien que maintenant habitué aux guerres qui les dépassaient n’avaient pas la moindre de chance. Mais fort heureusement pour nous, certains Anges et certain Démons n’était pas pour la fin de l’humanité et choisir de se battre à nos côté pauvre humain que nous étions. C’est dans les tranchés de la guerre que la lame du destin fut trouvé, c’est dans les tranchés de la guerre qu’un humain s’éleva, la rage au ventre, le désir de sauver son monde et son espèce plus puissant que tout. Dieu et Lucifer se faisait face dans un combat sans merci, et pourtant, c’est cet humain, sans le moindre pouvoir, juste le courage et l’espoir qui transperça père et fils, mettant ainsi fin à cette nouvelle guerre. Paradis et Enfer, sans leurs créateurs s’écroulèrent, inaccessible, inexistant pour ses habitants, chaque âme partie fut perdu, chaque âme sur terre fut coincé et toute mort était définitive, les esprits de survivaient plus, n’ayant plus d’endroit où aller.

Aujourd’hui, la vie n’a plus rien de ce que raconte les livres qui existent encore. La nature à presque complètement disparut, les terres sont devenu aride, les plantes ne poussent plus. Le vert chlorophylle nos enfants ne savent pas à quoi cela peut ressembler. Nous vivons dans de vieux containers réaménager, ou des usines désaffecté. Parqué plus ou moins les uns sur les autres dans des villes fortifié avec ce qu’il reste du passé. Nous côtoyons anges et démons survivant de la guerre, ainsi que les autres créatures dîtes magiques qui ont révéler leur existence pour rejoindre les combats, d’un côté, ou d’un autre. Nous nous parquons, évitons la nuit, de peur que les vampires de l’ancien temps reviennent et détruisent les villes. Cela arrive parfois, nous apprenons qu’un village n’existe plus. La peur s’insinue de plus en plus dans les habitations, personne ne sait à qui faire confiance. Votre frère, qu’il soit humain, ou loup-garou, votre voisin, un ange, qui pourtant ressemble plus à un démon, ou à ce démon qui vous aide toujours à porter vos courses ? Le genre humain ne semble plus exister, il y a les contaminations comme ils les appellent. Quand du simple humain, vous passer au vampire, ou les initiations, aujourd’hui, une personne avec la bonne volonté pourrait devenir un sorcier. Parfois je lie des livres du passé, imaginant un ciel bleu et les oiseaux qui chante, enfant je demandais à ma mère qu’est-ce qui était arrivé à notre monde et pourquoi dieu avait réagis ainsi. C’est alors qu’elle me répondait « J’imagine qu’il en a eu marre de toutes nos conneries. »